"Moi, je l'aime Bidouille. Le problème c'est que elle, elle m'aime pas"
Comment je suis devenue
jeudi 16 octobre 2014
mardi 14 octobre 2014
Capucine superstar
Capucine est une star !
En arrivant le soir pour la récupérer à l'école, je la surprends en train de manger tranquillou pépère son goûter pendant que deux grandes (de grande section...tout est relatif...) lui font des coiffures. Lorsque la princesse m'aperçoit, elle se lève, divine et hautaine pour me rejoindre tandis que les deux coiffeuses s'affairent pour lui ranger les restes de son goûter dans son sac et me l'apporter, avec cahiers et petite laine. Tranquillou pépère, j'vous dis.
Même heure, même lieu, scénario un peu différent. Elle m'aperçoit, se lève à son aise, le sourire des grands jours collé au visage (le sourire de tous les jours, en fait...) et prépare ses affaires. Un petit garçon de 2 ans son aîné se jette sur elle et l'entoure de ses bras "ne pars pas, Capucine....". Le lendemain matin, je croise le garçon avec sa maman qui me dit "je crois que mon garçon est amoureux de votre petite fille, il ne veut pas la lâcher...". Oui, je crois aussi. Et à vrai dire je le conçois parfaitement ^^
Un matin, cette fois, on arrive un peu en retard à l'école. Capucine est acclamée par tous les enfants "Ouais ! Capucine est là !!!" sur le ton du soulagement. Et elle de dire bonjour négligemment de la main.
Cette petite, elle peut faire ce qu'elle veut, elle a le charme pour elle. Et, oui, j'en suis fière !
En arrivant le soir pour la récupérer à l'école, je la surprends en train de manger tranquillou pépère son goûter pendant que deux grandes (de grande section...tout est relatif...) lui font des coiffures. Lorsque la princesse m'aperçoit, elle se lève, divine et hautaine pour me rejoindre tandis que les deux coiffeuses s'affairent pour lui ranger les restes de son goûter dans son sac et me l'apporter, avec cahiers et petite laine. Tranquillou pépère, j'vous dis.
Même heure, même lieu, scénario un peu différent. Elle m'aperçoit, se lève à son aise, le sourire des grands jours collé au visage (le sourire de tous les jours, en fait...) et prépare ses affaires. Un petit garçon de 2 ans son aîné se jette sur elle et l'entoure de ses bras "ne pars pas, Capucine....". Le lendemain matin, je croise le garçon avec sa maman qui me dit "je crois que mon garçon est amoureux de votre petite fille, il ne veut pas la lâcher...". Oui, je crois aussi. Et à vrai dire je le conçois parfaitement ^^
Un matin, cette fois, on arrive un peu en retard à l'école. Capucine est acclamée par tous les enfants "Ouais ! Capucine est là !!!" sur le ton du soulagement. Et elle de dire bonjour négligemment de la main.
Cette petite, elle peut faire ce qu'elle veut, elle a le charme pour elle. Et, oui, j'en suis fière !
Le bonheur à venir
L'avenir est une promesse de bonheur. Il faut faire en sorte de lui donner raison. Ce n'est pas rien... mais ce n'est peut être pas insurmontable.
lundi 13 octobre 2014
Des Lego
Noé a une technique infaillible pour recevoir ce qu'il désire à son anniversaire : dire qu'il va le recevoir. Il ne demande pas, il affirme. Exemple : "ce qui est super, c'est que je vais recevoir plein de Lego pour mon anniversaire !"
Du coup, il a reçu plein de Lego pour son anniversaire... Elémentaire !
Quand il joue au Lego, je vois de lui tout ce que j'aime, tout ce que je connais de lui depuis toujours. Sa patience, sa persévérance, sa dextérité, sa concentration, sa méticulosité, son sens de l'abstraction... Il reste là, tout entier absorbé par sa construction pendant une heure, deux heures, trois heures, en tête à tête avec ses blocs. Le temps qu'il faut. Et puis vient le temps du jeu, de l'imagination, de la pétulance et de la joie.
Du coup, il a reçu plein de Lego pour son anniversaire... Elémentaire !
Quand il joue au Lego, je vois de lui tout ce que j'aime, tout ce que je connais de lui depuis toujours. Sa patience, sa persévérance, sa dextérité, sa concentration, sa méticulosité, son sens de l'abstraction... Il reste là, tout entier absorbé par sa construction pendant une heure, deux heures, trois heures, en tête à tête avec ses blocs. Le temps qu'il faut. Et puis vient le temps du jeu, de l'imagination, de la pétulance et de la joie.
Retrouver son chemin
Je ne sais pas toujours où je vais, ni pourquoi. Il y a les gens qui doutent et les gens qui foncent. Ok, ce n'est un secret pour personne : je doute. Matin, midi et soir. J'avance d'un pas, je recule... Un pas sur le côté, un pas de l'autre côté. C'est épuisant, ridicule et parfois pathétique mais, malgré tout, je finis par avancer.
Si je ne sais pas ni où je vais ni pourquoi, je sais comment j'y vais. En écrivant. J'ai toujours écrit. Absolument toujours. Des lettres d'amour, des petits mots d'amitié, des grandes déclarations, dans des journaux intimes ou sur la place publique. Et si je perds le plaisir d'écrire, je perds trop de moi.
Si je ne sais pas ni où je vais ni pourquoi, je sais comment j'y vais. En écrivant. J'ai toujours écrit. Absolument toujours. Des lettres d'amour, des petits mots d'amitié, des grandes déclarations, dans des journaux intimes ou sur la place publique. Et si je perds le plaisir d'écrire, je perds trop de moi.
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